Du nom d’une drogue fictive chez Aldous Huxley (mais aussi un prénom japonais, un plante, sa divinité et un nom commun grec : le corps 1), SOMA représente ici le pouvoir d’attraction de la fiction – son pouvoir d’immersion, son envergure et son ivresse, incarnés par les personnages. SOMA est l’union entre les personnages et celui qui les dessine.

(1) Selon Pavel Florensky, « le grec sôma est de même racine que saos, soos (sain, entier) et sôizô (je sauve, je guéris). »


Named after a fictional drug by Aldous Huxley (but also a japanese surname, a plant, its deity and a greek word 2), SOMA here represents the power of attraction of the fiction, its power of immersion, its range and its exhilaration, all embodied by the characters. SOMA is the union between the characters and their designer.

(2) According to Pavel Florensky, « the Greek sôma has the same root as the words saos, soos, (healthy, whole) and sôizô (I heal, cure, save). »